Roschdy Zem, après Mauvaise foi (2006) et Omar m’a tuer (2011), plonge dans le milieu social du culturisme. Un film à mi-chemin entre la fiction et le documentaire, sans prétention aucune, sinon celle d’extraire les « bodybuilders » des clichés qui leur collent à la peau. Entre comédie et drame familial, une fiction tout public. L’histoire, c’est...